philosophie
jeudi 26 septembre 2024
Borne de Zagorra
"Quand les Lotois se voulaient Citoyens du Monde"
Samedi 28 septembre 2024 à 14 h 30, à la salle des fêtes de Bégoux, dans
le cadre du festival photographique Fest’Images-Territoire du Monde de
l’association Clic-Images, Michel Auvray donnera une conférence dont le
titre est : "Quand les Lotois se voulaient Citoyens du Monde". Voici
sept décennies, en pleine guerre froide, alors que planait la menace
d’un conflit atomique, des Lotois donnaient vie au vœu de Victor Hugo :
"Avoir pour patrie le Monde et pour nation l’Humanité." Car c’est très
précisément le 30 juillet 1949, voici déjà soixante-quinze ans, que le
conseil municipal de Cahors adoptait la charte de mondialisation des
communes, la ville se voulant Cahors-du-Monde, Cahors Mundi. À l’instar
de la ville-préfecture, 239 communes de notre département se voulaient
alors liées à la communauté mondiale, leurs habitants Citoyens du Monde.
Cet idéal en action de fraternité universelle était alors à la Une de
la presse. Le 24 juin 1950, du pont Valentré à Tour-de-Faure, le premier
tronçon de la Route sans frontières n° 1 était inauguré en présence du
tout récent Prix Nobel de la paix. C’est cette histoire que présente
l’une des expositions de ce festival à partir de documents conservés aux
Archives départementales du Lot. Historien et journaliste, Michel
Auvray a consacré des années à consulter tous les fonds disponibles,
d’archives municipales en archives départementales, de la Bibliothèque
nationale de France à la Préfecture de police de Paris. Donnant bien des
conférences, il a publié la première "Histoire des Citoyens du Monde"
(Imago, 2020). C’est pourquoi il lui a été demandé de contextualiser les
photographies de cette exposition. Samedi 28 septembre 2024, à 14 h 30,
à Bégoux, il retracera cette épopée, relatant ses espoirs et ses
manifestations, donnant à voir ses acteurs pour une bonne part lotois.
L’entrée sera gratuite.
dimanche 11 août 2024
Le mouvement des citoyens du monde crée après une guerre
En ce mois d'Août ou tous le monde est occupé par des jeux ou les vacances.
je vous partage la prophétie de Bison Blanc (1849 – 1947),Lorsque les dates du calendrier qu’ils nous ont imposé seront de
nouveaux en position de miroir, les hommes auront oublié cette première
grande guerre qui aura versé tant de sang.
Les souvenirs des horreurs qu’ils ont traversées s’effaceront de leur
mémoire, et les esprits s’endormiront de nouveau. Les cœurs se fermeront
les uns aux autres, chacun s’isolant dans son propre univers, coupé du
sens de la solidarité.
Tel des loups solitaires, les humains se croiront libres d’aller là où
bon leur semblera, et d’agir à leur guise sans tenir compte des autres.
Ils ne réaliseront pas à quel point, sans la protection de sa meute, un
loup isolé est d’autant plus vulnérable…
C’est alors que, aux quatre coins de la Terre, débutera une nouvelle
guerre, la plus grande de toute. Une guerre sans fusils et sans canons.
Une guerre redoutable contre notre Mère la Terre, dans le but de la
maîtriser et de contrôler chacun de ses soupirs.
Une guerre viscérale qui exploitera toutes ses richesses et causera
l’extinction de nombreuses espèces, tant animales que végétales. Une
guerre sournoise qui anéantira le lien même des hommes avec la Nature,
et le grand cycle de vie dont ils font partie.
L’esprit endormi des hommes, coupé de sa reliance avec le grand Tout, ne
verra rien venir lorsqu’il deviendra la prochaine cible de cette soif
absolue de contrôle de ces envahisseurs.
Ultime conquête, le cerveau humain sera une proie de choix sur leur
tableau de chasse. Et ils n’auront besoin d’aucune arme pour asservir
les hommes : il leur suffira simplement, pour les réduire à néant, de
leur insuffler la peur.
Tel un loup solitaire traqué par un chasseur sans merci, l’humain isolé
de ses semblables ne trouvera aucune aide, aucun soutien, aucun répit,
ni aucun terrier pour se réfugier lorsque débutera cette guerre de
terreur et d’effroi.
Il sera traqué jusque dans sa propre maison. Assailli jour et nuit par
des images terrifiantes, les mémoires de ses ancêtres oubliés, il
craindra de sortir de chez lui.
Son cœur, coupé de sa lignée et endurci par des années de solitude
intérieure, en viendra à se méfier de ses voisins, de ses amis, et même
de sa propre famille. Ce sera le début de la fin pour cette humanité
sans âme et sans vision commune.
Seuls ceux et celles qui ont nourri le lien à la Terre, qui ont gardé
leur cœur ouvert et leur esprit éveillé, sauront qu’il est temps de se
lever et de quitter le confort de leur foyer pour se regrouper sur des
hauts lieux sacrés afin d’invoquer la clémence des Astres, des Anciens
et des Esprits.
Ceux et celles qui prendront le temps de laver leur âme du sang versé
par leurs ancêtres, et de purifier la Terre entachée par tant de
massacres, auront la possibilité de survivre à cette guerre impitoyable.
Ceux et celles qui créeront des havres de paix, des communautés
solidaires et unies par le Cœur, sauront résister à l’épreuve du feu qui
embrasera les cerveaux terrifiés par la peur.
Aux quatre coins de la planète, toutes ces âmes, rassemblées dans un
même Esprit d’Amour absolu, sauront retrouver le chemin qui mène à la
Paix.
Ensemble, elles s’uniront aux Astres, aux Anciens et aux Esprits, pour
réactiver la grande Roue de Médecine universelle, le Cercle de la
Création Éternelle, afin d’y bercer la Terre-Mère et tous ses habitants,
en faisant tomber le voile de l’oubli et les éveillant à leur véritable
Nature unifiée.
Ce sera le début d’une Ère nouvelle où, enfin, tous les humains seront
frères et feront UN avec la Nature, les animaux, les plantes, les
Anciens et les Astres. Alors, mes enfants, nous pourrons en toute
conscience quitter cette Terre et redevenir nous-mêmes des Étoiles.»
c'est a nous d'agir merci aux citoyens du monde
lundi 22 juillet 2024
L'éloge du voyage lent avec les citoyens du monde
Hubert Martin citoyen du monde depuis de nombreuses années.
Il le fondateur du Roc Castel c'est ainsi
que les citoyens du monde œuvrent
pour promotionner la route mondiale ou route sans frontière,
les citoyens du monde vous donneront
toutes les explications sur ce mouvement mondial
Objectif poser une borne dans un troisième département,
avant la pose de la borne de Zagorra sur le continent Africain
Toutes les actions pour développer ce mouvement
sont des actions qui font avancer la route sans frontière,
même les nuits de pleine lune.
vendredi 12 juillet 2024
La route mondiale au festival du Roc Castel
Des liens se sont tissés avec le Roc Castel au Caylar
grâce à Hubert Martin, pour l’édition 2024 de l’éloge du voyage lent,
du jeudi 25 au Dimanche 28 juillet
les citoyens du monde seront présents
pour informer sur la citoyenneté mondiale
un point de rencontre tenu par les citoyens du monde
routemondiale.fr avec liberté cyclo solaire créent des événements
avec comme support les déplacements doux
à bientôt au festival Roc Castel
lundi 17 juin 2024
Adhesion à routemondiale.fr
routemondiale.fr
Quand j’ai découvert en 2015 la première borne à Saint Cirq Lapopie je ne savais pas ce qui se cachait derrière. Au fil du temps j’ai découvert les citoyens et citoyennes du monde, au travers de Cahors Mondi.
J’ai implanté deux bornes en 2021 en aveyron une à Bouillac et une à L’hospitalet du Larzac.
Je suis aujourd’hui officer de l’état civil mondial
Et je m’engage à promouvoir la route sans frontières comme le chemin de Saint Jacques .
Cette route mondiale à un départ de Cahors au pied du pont Valentré à nous de tisser une toile pour qu’elle enveloppe la terre pour un monde meilleur.
Citoyens, citoyennes c’est par notre action que nous réaliserons un monde meilleur.
Pour adhérer toutes les infos sur routemondiale.fr
dimanche 9 juin 2024
Si je veux repartir il me faut bien rentrer
La météo me demande de changer mes plans.
Il me reste à franchir les Pyrénées. L’option col de Roncevau est écartée cause météo reste 3 possibilités le tunnel de Biéla, le col d’Envalira ou le col de Porte.et puis le pic du Montalet pour dire bonjour à l’enfant sauvage de Lacaune
Jour 45
Changement de cap ……
Des gros orages cette nuit et je me penche sérieusement sur la météo en France. Vous y êtes habitué, moi pas donc je ne remonte pas sur l’atlantique je traverse l’Espagne Ouest/Est et je mettrais le clignoteur à gauche en fonction de la météo.
Le Hasard l’avait prémédité hier j’avais dévier du camino de Santiago après Logrogno pour trouver un hôtel et j’étais sur la route de Saragosse( 138 km). Ce matin pas de soleil mais un vent idéal je suis sur un tapis volant ( preuves à l appuis ) je fais du tourisme sur cette route des vins, et je me retrouve dans une arène pour une fête de village « Cardieta » j’ai longé le « Rio Ebro » ainsi que ce le dessert des Bardenas. Ou les vautours surveillent la A126 pour éliminer les animaux imprudents.
On est dimanche il est 14 h les Espagnols sont à table ce qui me décide dans une solution osée pour arriver à Saragosse je prends une autovia interdite aux tracteurs et le stresse monte quand elle croise une autoroute 4 voies et il faut que j’aille à gauche gros vent arrière puissance maximale et je n’ose pas vous donner ma vitesse une belle moyenne 30 km/h sans soleil qu’avec le vent ( 135 km en 4 h 32 )
Un petit clin d’œil au cycliste avec des gros mollets et un vélo de 7 kg, il m’a doublé alors que je roulais à 32km/h, il est se retournait pour voir si il me distançait je lui ai laissé prendre de l’avance et puis j’ai mis le gros braquet…….il se rappellera qu’il faut se méfier d’un vélo solaire avec remorque de 70 kg
Je me perd dans les rues de Saragosse où je croise des bus électriques de scooter carrossé électriques et je finit à cette place de « Nuestra Señora Pilar » j’adore ce petit cheval de bronze où tous les enfants se font prendre en photo pour finir la visite je traverse « El Puente de Piedra » flanqué de ses 4 lions.
Je compte avancer vers Huelva et le gros vent à forci rafales à plus de 50km/h latérales .
Par sécurité je trouve un hôtel et me mets à l’abris .
J’ai très bien mangé à midi et ce soir jeûne car pas de restaurant et je déjeunerai mieux à deux mains
Jour 46
Un beau ciel avant le lever de soleil, le vent est toujours présent et je roule vers le nord, une belle fresque que je pixelise à Zuera des beaux paysages de terre ravinée c’est une région qui partait pauvre beaucoup de champs de blé d’une culture industrielle ( pas un coquelicot). Je traverse Huesca encore endormie. Quelques châteaux haut perchés me regardent passer. Je me dirige vers Barbastro ou une autoroute est en construction pour relier les deux villes et je tombe sur une fourmilière qui sont en pleine action sans dénaturer tous les paysages. J’ai du mal à comprendre ses travaux titanesques alors que la N240 est une très belle nationale: pour quel avenir ?Jour 47
Une journée magique, ce matin l’enfant sauvage me réveille et va me dit il faut partir le ciel est sans nuages il est 6 h et le petit déjeuné est à 8h …..
On déjeunera quand se sera l’heure.
Je monte vers le tunnel rien pour déjeuner se sera en France le soleil est présent mais toute la montée se fait à l’ombre et la surprise un bouchon tous en les véhicules qui m’ont doublé sont à l’arrêt je décide de doubler car le bouchon c’est un troupeau qui monte en estive et c’est un bonheur d’échanger avec les bergers. Même pas en rêve pousser un troupeau de 400 têtes avec un vélo solaire.
La Guardia civil est la pour gérer la circulation.je continue ma montée avec des panneaux qui indiquent les pourcentages du col sa me rassure sur l’interdiction et je croise un voyageur qui venait de le franchir. En même temps que les panneaux interdit aux piétons et cycliste !!!
La circulation est alternée et je m’engage pour 3,5 km de tunnel sauf qu’il monte et très raide je prends mon mal en patience et le stress monte au maximum quand je vois des gyrophares dans mes rétroviseurs je me mets sur la voie de gauche pour les laisser passer et ils me font signe d’accélérer je suis déjà dans la zone rouge ……
Au bout d’un moment je vois une lueur c’est la fin du tunnel mais le soleil est resté en Espagne.
Je me fait sermonner pour ma faute et j’aurais une amande la prochaine fois ( la prochaine je le ferais en descendant se sera plus rapide .
Je suis dans le brouillard il pleuviote et j’attaque la descente je suis gelé et je déjeune à Saint Lary à 11h
Il le reste à faire 130 km sans soleil et j’ai les batteries qui sont à 40%
Je pense que l’étape va être difficile.
Et j’économise le moindre watts. Je ne mange pas à Lanmezan et je continue en direction de Corneboeuf. Quelques taches bleues et les éclaircies apparaissent le moral remonte, pas les batteries mais elles se maintiennent.
Je vais gagner mon rêve à la force des mollets.
C’est pas la plus belle des étapes mais la plus intense en émotion 350 km en deux jours est ce soir je suis à plus de 6900 km en 47 jours
Un peut plus loin je survol’e des hirondelles quel bonheur de voyager à la vitesse du regard
J’ai fait sans soleil 110 km à ma pose repas 13 h 30 ( heure espagnole)et je mets cap vers la France j’ai pour objectif Bielsa par la vallée du Rio Cinca sur laquelle a été construit deux immenses barrages et j’ai des paysages magnifiques mais le manque de soleil me fait jeter l’éponge à Aínsa que je vous fait visiter c’est la ville de Corde ( Tarn) mais en Aragon cette vallée mérite le détour
Je suis à 40 kilomètres de la france et demain je suis chez des amis Marie et Pierre qui roulent avec deux Specbikes et qui sont de très bons amis
175 km avec 2000 de D+ avec 20% de soleil
Jour 48
Après une belle soirée j’ai une étape facile je n’ai plus de records à battre sauf de passer voir des amis et de la famille sur les deniers kilomètres de mon voyage.
Aujourd’hui j’ai choisi Toulouse car cette capitale de l’Occitanie
Je passe par Isle le Jourdain et mon application me trouve des piste cyclables d’une qualité que j’ai rarement vu. Une mention très bien à cette métropole et j’arrive par l’aéroport de Blagnac ou j’ai la surprise de croiser un musée vivant de l’aéronautique. J’avance sur ces pistes et surprise je suis place du Capitole le cœur de de la ville rose .
Je m’échappe toujours par des pistes cyclables sans voir un feu tricolore en direction du Lauraguais
Petite étape tourisme
Je suis à 7000 km en 48 jours plus de record à battre la base du Suntrip 2024 est de 7000 km en moins de 60 jours
Je préfère voyager en touriste et prendre le temps partager mon voyage avec vous que courir après les rayons de soleil car je l’ai dans le cœur
Jour 49
Tout à une fin si on veut repartir il faut bien rentrer.J’ai longé les travaux de cette autoroute polémique entre Tououlse et Castres sur une nationale on la circulation n’est pas intensive . Mais il faut faire travailler les travaux publics avec des engins mécaniques pour faire une autoroute à péage pour gagner 10 minutes ………..
J’arrive à Puylaurens la ville où on peu voir les Pyrénées visibles à l’œil mais pas en images .
Par conte Mariane est bien présente. Et oui c’est la ville qui a vu naître Mariane et il en font un bel atout touristique je suis allé à une expo et à l’office de tourisme parler de mon voyage et j’en ai même acheter une grande comme une borne .
En plus je suis un enfant du pays mes parents avaient une boulangerie à 14 km et à 14 ans je sillonnait ses routes en vélos il y a juste 53 ans .
Et l’enfant sauvage a toujours des rêves d’enfant et des souvenirs sont très forts de passer sur ces routes chargées de souvenirs .
Une escale à Lombers cher Lulu et Christian pour rouler avec des Quadricycle de sa conception .
Une belle soirée avec François et Yollande avec qui je suis allé en vélo solaire deux fois au Maroc .
Reste la dernière ligne droite avec un arrêt obligatoire à Saint Cernin sur Rance ou trône la statue de l’enfant sauvage.
Jours 50
Après une belle soirée à parler du monde solaire j’attaque la dernière étape pour retrouver mon lit 130 km sans soleil mais avec pleins de rêves.Quitter mon département natal le Tarn et faire des images d’une très belles borne départementale sur la route d’Aix à Montauban.
Le point haut est passé et je fais une pause au point de vue de Saint Sernin Sur Rance .
C’est un arrêt obligatoire pour faire des photos avec Victor l’enfant sauvage capturé par les Aveyronnais le 8 janvier 1800.
Comme j’ai un peu de temps je vais faire tamponner mon carnet de pèlerin à la mairie . Et des liens se tissent entre la première adjointe et le cousin de l’enfant sauvage .
Je part à 11 h car j’ai rendez-vous avec un journaliste du Progrés je journal de saint Affrique .
Il est 13 après un repas c’est la tournée des amis et j’arrive à 18h à mon château solaire .
7300 km pas une crevaison, pas une panne.
Des petits réglages et l’usure des pneus.
Cette parenthèse de 50 jours se termine une autre commence se sera moins intense mais résultat des pensées qui ont mûri pendant se voyage dans la tête d’un enfant sauvage amoureux de la vie
Les chiffres du voyage
7285 km
61016 de dénivelé positif
309 h de trike en 50 jours 6 heures de pédalages
Des milliers de photos et 60 vidéos de 3 minutes
Le voyage sur la route sans frontières ne fait que commencer
Borne de Zagorra
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